Le Silence des Sirènes, titre emprunté à une nouvelle de Kafka, présente la photographie d’un coquillage criblé de trous réguliers dont les motifs se détachent en négatif sur un fond noir.
Ce coquillage perforé renvoie à un procédé mécanique de création des boutons de nacre, qui a persisté jusque dans les années 1950.
Les trous pratiqués dans le coquillage semblent lui retirer sa résonance, le rendant muet.